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Partir en affaires!

Démarrer une entreprise peut paraître une tâche complexe pour plusieurs. L’investissement en temps et en argent est souvent un obstacle qui freine la personne avant même d’avoir essayé. De plus, la peur de l’échec amplifie ce sentiment que de se lancer en affaire n’est pas une décision sage à adopter; cette peur peut fixer la personne à se concentrer uniquement sur les points négatifs du démarrage d’entreprise.

Image de keeg.ca

Une question importante doit être élucidée: qu’est-ce que je suis prêt à perdre dans cette aventure? «L’entrepreneur doit prendre conscience de sa sensibilité aux pertes dans le cadre de son projet entrepreneurial: que suis-je prêt à perdre pour mon projet entrepreneurial?  Que suis-je capable de mettre en péril pour mon projet? Le projet en vaut-il la peine? Ce que je peux gagner suffit-il pour me motiver par rapport à ce que je mets en danger?» (1, p.132) Il est important de spécifier que les pertes ne sont pas uniquement d’ordre financier, plusieurs autres facteurs doivent être abordés aussi (ex.: famille, stress, etc.).

Beaucoup de positifs!

Bien sûr il y a plusieurs points positifs à considérer! Partir en affaires est très valorisant; le sentiment de réalisation de soi, d’estime de soi et d’appartenance peut être comblé grâce au contrôle que l’on peut acquérir sur sa destinée. Contrairement à un emploi qui, dans de nombreux cas, répond seulement à des besoins de bases qui ne permettent pas le développement du plein potentiel d’une personne.

Pyramide de Maslow, image provenant de http://www.i-manuel.fr/

Le travail de salarié peut souvent être de nature aliénante. Plusieurs travaillent pour répondre à des besoins extérieurs à celui-ci. (2) Par exemple, combien de personnes travaillent seulement pour répondre à leurs besoins financiers imposés par notre société? Malheureusement, beaucoup sont prêts à sacrifier leur plein potentiel pour rester dans le confort et la sécurité que leur procure l’emploi qu’ils possèdent présentement… Si vous essayez de partir en affaire, en une courte période de temps, vous allez peut-être acquérir l’expérience de toute votre carrière de travail comme salarié!

Image provenant de HEC Montréal

Bien sûr, ceci nous ramène sur le questionnement des risques de démarrer son entreprise… Un cercle vicieux que plusieurs vivent présentement: ils aimeraient partir en affaire, mais ils «ne peuvent pas», ce n’est «pas le bon moment», etc. Il existe plusieurs modèles pour démarrer son entreprise et VDMH est un modèle qui veut très bien vous convenir.

Le modèle de la franchise

Selon Michael E. Gerber, le modèle qu’utilisent les franchises est une approche qui permet un plus haut taux de succès. L’utilisation de processus assure que l’entreprise utilise les mêmes façons de faire peut importe par qui, quand et où elle est situé (3). VDMH tente d’utiliser cette approche pour que tous nos représentants indépendants puissent être bien dirigés dans leur évolution.

Microfranchise?

La combinaison du mot «micro» et «franchise» en donne une certaine définition… La microfranchise est l’équivalent d’une franchise, mais avec un investissement beaucoup moindre. «On qualifie généralement la microfranchise comme celle nécessitant qu’un petit investissement ou encore peu d’équipements et très souvent qui ne requiert pas pignon sur rue. (4)» Ce qui ne signifie pas pour autant que les responsabilités sont moindre!

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VDMH utilise le modèle de microfranchise pour permettre à plusieurs personnes de pouvoir investir principalement son potentiel et son temps à développer une occasion d’affaire stimulante.